Les étapes de vie pour lesquelles il vous faut faire appel à un conseiller en gestion de patrimoine (CGP)​

Les étapes de vie pour lesquelles il vous faut faire appel à un conseiller en gestion de patrimoine (CGP)

69 % des Français jugent leurs connaissances moyennes ou faibles sur les questions financières.

Et c’est bien normal, rien ne nous est appris sur ces sujets. Par conséquent, les Français se tournent vers ce qui leur semble le plus logique, la banque et ce fameux Livret A.

Les faits sont là ; selon le dernier rapport de la Banque de France, 81 % des Français ont un Livret A avec en moyenne, 6 351€ dessus. C’est 800€ de plus qu’il y a 3 ans…

Mais alors, pourquoi les Français continuent-ils d’épargner sur des livrets avec un rendement de 3 % quand l’inflation se situe aux alentours des 5 % ?

Pourquoi ne cherchent-ils pas des solutions pour leur permettre de préparer leur retraite, quand on sait que les revenus à la retraite diminuent au minimum de 50 % ?

Eh bien c’est certainement parce que personne ne les a avertis sur ces sujets qui, pourtant, ont un impact capital sur leur patrimoine.

C’est pourquoi nous vous présenterons dans cet article les différentes étapes de vie auxquelles il vous faut faire appel à un conseiller en gestion de patrimoine.

  1. La vie de couple
  2. La détention de biens 
  3. La vie active et la protection de votre futur portefeuille
  4. L’aide aux enfants 
  5. L’anticipation de la succession
 

1. La vie de couple

 

Vous êtes en couple depuis quelque temps et avez décidé qu’il serait maintenant opportun “d’officialiser” votre relation. Allez-vous rester en concubinage, vous pacser ou même vous marier ? sous quel régime ? Sachez que cette décision aura des impacts conséquents sur de nombreux aspects de votre patrimoine ! 

Ils sont nombreux ! Les deux plus importants, concernant votre patrimoine, sont les suivants :

  • Protection de votre conjoint-e

Vous êtes pacsé-e ou en concubinage ? Saviez-vous qu’aux yeux de la loi vous n’êtes pas héritier l’un de l‘autre ? Ainsi, en cas de malheur, le partenaire survivant n’aura rien.

Concernant le mariage, la protection de votre conjoint-e dépendra du régime choisi ainsi que de la composition de votre foyer (nombre d’enfants, précédent mariage ou non…).
Sachez que des stratégies de protection sont possibles !

  • Fiscalité 

Vous unir, c’est aussi modifier les règles de votre fiscalité personnelle, une conséquence souvent non anticipée lors des unions, mais qui peut devenir un véritable atout.
 
 
 

2. La détention de biens

 

Maintenant que votre relation est “officialisée”, vous souhaitez très certainement réfléchir à acheter votre résidence principale, mais sous quelle forme ?

Peu le savent, mais il existe de nombreuses façons de détenir un bien (seul, en société, à plusieurs…) et peut-être que vous vous trouvez dans une de ces situations.

Différents modes de détention existent :  

  • En direct

Exemple de situation concrète : Vous êtes propriétaire seul du bien en nom propre.

C’est le type de détention le plus fréquent. 

  • En indirect

Exemple de situation concrète : Vous achetez un bien via une SCI ou une SCPI.

 

3. La vie active et la protection de votre futur portefeuille

 

Vous avez entre 25 et 40 ans ? C’est le moment idéal pour commencer à faire fructifier votre épargne ; en investissement plus on s‘y prend tôt, mieux c‘est.

En effet, ces périodes sont propices pour épargner, chaque mois une partie de vos revenus sur des placements pour le futur. Cela vous permettra de bénéficier d’intérêts composés, et ainsi de faire croître votre capital sans prendre de risques inconsidérés sur le court terme.

Ce capital ainsi constitué vous aidera grandement pour concrétiser vos projets (maison, mariage, voyages…) ou lors d’étapes importantes de votre vie (arrêt maladie, retraite…).

Par exemple, sachez qu’en plaçant 10 000 € aujourd’hui + 150 €/mois, vous pourriez obtenir 88 780 € dans 20 ans, en respectant un profil de risque prudent.

Autre point important, l’optimisation de votre fiscalité : savez-vous qu’il est possible de “flécher” vos impôts ?

En effet, il vous est tout à fait possible de décider à qui vous souhaitez donner vos impôts. Eh oui ! L’État permet aux Français de diminuer (voire d’annuler) purement et simplement leur fiscalité contre des investissements ciblés.

 

4. L’aide aux enfants

 

Parmi les étapes de la vie, l’une semble être particulièrement non anticipée par les jeunes parents : les études et départ des enfants.

Même si vous vous trouvez actuellement dans une grande ville avec de nombreuses écoles ou facultés dans lesquelles votre enfant pourrait réaliser ses études, il y a de fortes chances pour celui-ci soit amené à se déplacer. Et pour cause, selon l’institut CSA Research, le budget moyen annuel est de 7 132 € pour les études supérieures d’un enfant.

Que ce soit pour se spécialiser dans un domaine ou pour vivre une expérience professionnelle à l’étranger, votre enfant aura sûrement besoin de l’aide financière de ses parents pour subvenir à ses besoins.

Anticiper ces périodes se fait plusieurs années en amont et doit être cadré afin d’éviter toute fiscalité relative à ces dons.

Côté cadeau, que pouvez-vous faire ?

Les 18 ans de votre enfant approchent et vous voulez lui faire un “gros” cadeau ?

En faisant attention à ne pas dépasser certains seuils, il vous est tout à fait possible d’offrir un cadeau de valeur à votre enfant sans fiscalité, si tant est que cela ne soit pas disproportionné au vu de votre patrimoine actuel.

 

 

5. L’anticipation de la succession

 

La succession s’anticipe. Le sujet pourrait faire l’objet d’un article en lui-même, alors pour vous faire gagner du temps, voici 3 règles à connaître sur la succession.

  1. Il existe deux façons de répartir une succession

Par les règles de dévolution légale : si aucun testament valide n‘existe alors, la loi donne les règles de partage de la succession selon un ordre de priorité.

Par les volontés du défunt : si un testament valide existe, le défunt spécifie comment il souhaite que son patrimoine soit réparti après son décès. Mais attention, il y a des limites, comme vous le verrez au point 2.

   2. Vous ne pouvez (normalement) pas déshériter vos enfants

Certains héritiers, appelés « héritiers réservataires », ne peuvent pas être entièrement déshérités. C‘est notamment le cas de vos enfants, qu‘ils soient issus de l’union actuelle ou d’une autre.

  3. 60 % des biens transmis à votre conjoint seront pris par l’État

Eh oui ! Comme expliqué en début de guide, l‘organisation civile de la vie de couple est primordiale. Un mauvais choix peut avoir un impact très important. C‘est par exemple le cas si jamais vous souhaitez léguer à votre conjoint un capital alors que vous n‘êtes pas liés par un mariage ou un PACS.

Un professionnel indispensable pour orchestrer toute la stratégie

À la lecture de ces règles, on comprend très rapidement l‘intérêt de faire appel à un conseiller en gestion de patrimoine pour nous épauler et être sûr-e de faire les bons choix pour le futur de ses proches !

 

Conclusion

 

Vous l‘aurez compris, votre vie est rythmée par des temps forts qu‘il est primordial d‘anticiper.

Organiser votre vie de couple, veiller à la détention de votre bien, faire fructifier votre patrimoine et anticiper votre succession sont autant de moyens de vous assurer une vie paisible et sans embûches.

Et pour bien combiner ces différents besoins, vous pouvez faire appel à des experts réglementés, agréés et certifiés !

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